le cri de la sarcelle au-dessus de l’étang
le vélo couché au bord de la roselière
le peintre exténué qui lèche son bleu de Prusse
le chagrin de la clématite abandonnée sur un banc
et le chant sublime de la jeune femme sur sa barque
tremper son pinceau dans une grenouille rousse
détourner la perspective du tableau
soudoyer la pêcheresse avec une cuiller en argent
que vienne la pêche miraculeuse des bonbons colle-aux-dents
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire