le silence emmuré dans la queue d’une comète
la déchirure de l’après-midi sur un seul coup de vent
l’avoine fermentée pour l’ivresse d’un vieux cheval
la fatigue déshabillée sur la banquette d’une salle d’attente
la nuit qui tire son coup au premier coup de l’horloge
délacer avec tendresse la prison d’un corset
délaisser la musique sur un piano en déroute
enlacer la mercière et ses attaches câlines
que vienne une flambée de bois de rose dans le ventre de la veuve
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