le sommeil qui s’annonce au champ des coquelicots
l’énervement du verdier sur l’épine-vinette
le fantôme du chat dans la nonchalance de l’après-midi
l’arrosoir à genoux, le râteau en déséquilibre
et le rendez-vous manqué avec les indulgences
cracher sur le miroir pour brouiller les images
maquiller le remords avec de la poudre de riz
mordre l’épaule de la cabarettiste pour le jus d’une valse
que vienne la chanson des faucheurs pour conjurer la météo
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire