l’oratoire discret abritant une couleuvre
le bouquet de boutons d’or renversé sur la pierre
la pancarte indiquant la direction du paradis
la partition musicale d’une mazurka d’enfer
et le casse-noix qui s’égosille en stéréo
consolider le cairn avec de la pierre-à-fusil
repeindre un peu le ciel avec du cyan de fortune
attacher l’arlésienne au nuage qui passe sur les crêtes
que vienne un solfège apaisé sur nos cœurs en quenouille
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire