les nervures de la musique sur la chemise du basson
les dentelles de l’été sur la forêt de trembles
les ombres immobiles qui attendent le vent
la salade de fèves, le jambon fumé, le vin clairet
et l’eau chaude de la source pour les ablutions
remercier la faux pour le repas de sainfoin
encourager l’hirondelle dans son trille passionné
déshabiller la dentelière pour ses taches de son
que vienne un parfum d’angélique sur nos siestes scélérates
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