la part de féminin de nos tourments au fond d’une barrique
la soif de l’absolu et de l’éternel devoir
le rouleau de sparadrap pour rapiécer la vie
l’essoufflement de l’araignée à tisser du spleen
et l’éblouissement du premier pissenlit
ressuyer les habitudes à la brise des dimanches
broder les initiales des mariages printaniers
éplucher les deuils de l’infirmière de nuit
que vienne un signe de légèreté sur nos armoires à secrets
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