l’après-midi qui jouit d’une langueur tiède
le fauteuil qui chuchote une invite à l’amour
le missel qui ferme les yeux et transpire
l’odeur de pain d’épices et de safran brûlé
et la robe de lin qui raconte des choses
dépoussiérer le carnet des promesses enjouées
mettre à feu la compassion inutile
convoquer la cajoleuse pour le désordre des corps
que vienne une prescription de laudanum avant le crépuscule
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