la fanfare qui se perd dans les corridors du château
le mausolée qui fait reposoir pour les piafs et les mésanges
l’absurde du poème devant la maladie
la vacuité d’une lettre, la vacance des souhaits
et l’indulgence pelée au couteau des miradors
saluer l’aconit renégat et le mouton trisomique
désherber les platebandes de chagrin pour une floraison flamboyante
déplumer la trapéziste avant sa mise à terre
que vienne un festival de bugles sur nos remparts fatigués
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